16.2.05

L'essentiel du 15 février 2005

"Lettre ouverte à un non-coordonné"

Etrange, étrange ces "non-relations" qui vous arrivent sans prévenir et vous emmène là où vous n'auriez pas pu le prédir. C'est un peu ce qui m'est arrivé très cher "non-coordonné". Ton avis n'aurait pas compter puisque celui des autres m'a jusqu'ici si peu guidé....Mais va savoir pourquoi, peut être une belle journée, une bonne nouvelle, ou un bon café ont du coincider avec l'unique moment où je t'ai "non- rencontré", pusique pour une fois, quelqun d'autre que moi j'ai laissé parler. En te lisant et à force de m'y habituer, je me suis prise au jeu de cette "non-intimité" au point que j'aille jusqu'à vouloir être initiée....Et me voilà maintenant ici, à essayer de faire de l'esprit en étant vraiment pas convaincue que cela soit bien réussi...Peu importe, en tous cas merci pour m'avoir emmené jusqu'à cet espace de liberté, ce lieu du "n'importe- pourquoi" où même quelques pin up pas si débridées ont réussi à s'égarer. Je ne vois rien d'autre à ajouter, si ce n'est que j'espère moi aussi t'initié à ma "non-intimité"... Première leçon...j'hésite....
1) "un Non peut être parfois très prôche d'un Oui..."
ou
2) "il n'y a pas tant de hasard que ça dans la vie..."
Pour la deuxième leçon, c'est promis, je travaillerai sur le second degrés moi aussi.
A nos peut être prochains écrits,...
Pleins de bonheurs
Sacha

10 Comments:

Blogger jean-beatles said...

Pour le 2), il y a longtemps que j'en suis convaincu. Pour le 1)...pffffff, c'est tellement compliqué les filles, parfois.

février 21, 2005 12:20 AM  
Blogger Sacha-bonheur said...

Et bien comme ça Monsieur Jean-beatles on s'est égaré ...
Sympa d'avoir vu de la lumière et d'être entrer en tous cas... Bon pour sur, c'est vrai que c'est un monde de fille par ici...et vous n'y trouverez ni Samian, ni autres grosses voix viriles....
Ben oui, quoi, j'suis une fille, une vrai...c'est tout... Et justement en parlant de fille, vous nous trouvez compliquée,...mais sincèrement est ce que c'est pas aussi comme ça que vous nous aimez?....

février 21, 2005 10:20 AM  
Blogger jean-beatles said...

(c'est quoi ces raccourcis que vous empruntez là, mademoiselle ? moi aussi j'ai un petit coeur qui bat sous mes déhors rugueux)

La n'est pas la question. C'est comme ça qu'on vous aime quand c'est possible de vivre cet amour-là. Sinon, j'peux t'assurer que tu manges. Et si on a le droit soit-même d'être compliqué (accepté comme tel, je veux dire).
bon, je m'égare.

non, je n'étais pas égaré, je vais je viens. c'est comme une sorte de labyrinthe toutes ces interconnections.

février 21, 2005 3:53 PM  
Blogger Sacha-bonheur said...

Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

février 21, 2005 5:40 PM  
Blogger Sacha-bonheur said...

(Alors je prends comme un compliment le "non hasard" et la série d'interconnections qui ont pu te faire arriver jusqu'ici...)Quand à "ce petit coeur qui bat sous ses dehors rugueux" sachez, très cher , que je n'en avais jamais douter...Cependant, j'aurai probablemnt employé rochon à la place de rugueux...(mais là n'est pas la question c'est à mon tour de m'égarer....)
En ce qui concerne l'autre propos,
Je comprends ta pensée et la rejoins..., On sent l'histoire vécue la dessous...je me trompe...enfin, bref,..., pour résumer,et sans que personne n'est rien à déballer,.., on dira qu'on s’est compris..., entre compliqués...

février 21, 2005 5:54 PM  
Blogger jean-beatles said...

pour l'histoire serait-elle au singulier ?
(d'ailleurs moi même je ne sais pas, vous me prenez de court)
On passe, de toute manière, une bonne partie de sa vie, à essayer de comprendre "l'autre".

février 21, 2005 6:48 PM  
Blogger Sacha-bonheur said...

La mienne, la votre ou peut être les miennes ou les votres va savoir...(d'histoires...)En tous cas c'est à peu près sur qu'avec tout ça je doute qu'histoire soit au singulier...

février 21, 2005 9:30 PM  
Blogger Sacha-bonheur said...

Et je doute aussi vous avoir pris de court d'ailleurs...

février 21, 2005 9:32 PM  
Blogger jean-beatles said...

(je voulais écrire "pourquoi histoire au singulier ?" mais mes doigts ont fourché)
A dire vrai, j'en sais rien, je pensais à une en particulier.
Mais à bien y réflechir, quand c'est trop compliqué, c'est sans doute que c'est, en réalité, extrèmement simple.
(non, je ne fournis pas l'ibuprofene contre les migraines)

février 21, 2005 10:26 PM  
Blogger Sacha-bonheur said...

(En réponse donc à ta phrase tiroir..j'ouvre mais juste un peu le mien...)
Il y a "trop" et "trop trop" compliqué...Ce qui est du domaine de l'acceptable (relatif à chacun bien entendu) et ce qui ne l'est pas...Quand on est dans le "trop trop" effectivement c'est simple, c'est juste une histoire de fin...Là où ça se complique c'est lorsqu'on se situe dans cette zone intermèdiare,..., celle ou le compliqué de l'autre nous plait comme le notre lui plait ...Pour ma part j'aime ce répondant (je pense à une histoire en particulier...), ça serait monotone sinon, le problème est d'arrivé toutjours à jauger la limite de l'un et l'autre sans la dépasser...et c'est là, je pense qu'est le point qui reste compliqué...
Voilà, ce que je mettrai peut être dans ce tiroir...

février 22, 2005 10:25 AM  

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